Enquête/Prostitution à Abidjan : La partouze, voici la nouvelle passion des Ivoiriens.
Considéré comme le plus vieux métier au monde, la prostitution est de nos jours pratiquée par des adolescentes qui vont avec plusieurs partenaires. La prostitution chez ces jeunes filles existe sous plusieurs formes. La pratique sexuelle de ces dernières a évolué modernité. Désormais, elles n'hésitent plus à s'adonner à plusieurs facettes, du «business sexe» à la partouze. Constater avec moi l’ampleur de ce phénomène.
Abidjan, Il est 23 heures, malgré l'heure avancée, dans certains
points chauds de la capitale économique ivoirienne, a Marcory c` est triste a de voir des adolescentes parmi ces
professionnelles de sexe, des Ivoiriennes pour la majorité. Pour les
adeptes des week-ends. La soirée démarre par des verres d'alcool avant
d'atterrir dans les bars climatisés. Pour entrer dans la danse. On remarque que les jeunes filles de ce secteur sont
belles, toujours bien sapées pour la plupart. Elles n’ont pas
l’apparence des professionnelles du plus vieux métier du monde.
Pourtant, elles inondent les rues de la capitale ivoirienne. Le succès que connaît ce travail choque presque les esprits.
Pour en faire le constat, il suffit de faire un tour en Zone 4 et à
Marcory.
A côté des jeunes filles, parfois des adolescents sortis pour faire des virées nocturnes ou s’offir des glaces en s'amusant à tirer une bouffée de cigarette, tombent dans le jeu des prostituées qui ont élu domicile devant la rue Paul Langevin de ce quartier ou l'ambiance est garantie.
A côté des jeunes filles, parfois des adolescents sortis pour faire des virées nocturnes ou s’offir des glaces en s'amusant à tirer une bouffée de cigarette, tombent dans le jeu des prostituées qui ont élu domicile devant la rue Paul Langevin de ce quartier ou l'ambiance est garantie.
Lieu de convergence des noceurs et des couche-tard qui s'y
donnent rendez-vous tous les week-end pour passer de bons moments, cet
endroit est dans le collimateur de la police. Les dérapages qui y sont
régulièrement commis par certains habitués donnent du boulot aux agents.
A la rue Mercédès, elles s'alignent avec aisance, guettant impatiemment
les hommes en quête de plaisir charnel. Leur accoutrement varie d’une
fille à une autre. Les unes en jupe, les autres en culotte ou en
collants. Certaines d'entre elles sont facilement reconnaissables. On
dénombre plus de jeunes filles que de vieilles qui s'adonnent à cette
pratique. Les clients qui viennent ici marchander paraissent beaucoup
plus attirés par les jeunes. Pour beaucoup d’ entre elles, Il s’agit de
la première expérience dans le domaine de la prostitution et certaines
n’avaient même pas encore atteint l’âge de 16 ans. Elles gagnent en
moyenne 10 000 FCFA à 15.000 FCFA par nuit. Ce gain varie les jours de
week-end. Les prix varient, selon la demande du client, quand il
souhaite avoir une fellation c’est 500 FCFA en plus, lorsque c’est un
rapport non protégé le prix s’élève à 3000 FCFA pour le rapport protégé
1500 FCFA nous apprend-on. Quand c’est un rapport à trois c’est-à-dire
une partouze, le prix varie de 5000 FCFA à 10000FCFA. Pour ce qui est du
type des clients, elles nous ont fait savoir que, il y a parmi eux des
hommes mariés, des ‘’tontons’’ vicieux.
Tendance partouze
De l'autre côté de la capitale, précisément a Cocody,certains automobilistes qui roulent au ralenti dans les rues avec l`objectif d`accoster de potentielles protituees qui assouviront leurs recherches de plaisir charnel. Malgré l'heure tardive, les
disciples de show abidjanais ne se pressent pas. Ils prennent le temps
de cibler le lieu approprié pour une soirée de folie, en fonction de
leurs poches. Aux abords de la route, des filles font le trottoir. Dans
le noir, elles fixent des yeux les voitures qui passent pour afficher
leur présence en ces lieux obscurs. Le tout, par un langage codé et
inaccessible aux non-initiés. A cet endroit, non loin du super marché
Sococé, les va-et-vient de véhicules particuliers et taxis est
incessant. Des couples descendent des voitures alors que les autres
semblent avoir fini leur soirée. Ils quittent tranquillement les lieux.
Entre le nombre de voitures, de personnes traînant aux alentours et les
prostituées à tout bout de champ, on se croirait en plein jour. A peine
a-t-il garé son véhicule devant le bar qu’un homme saisit aussitôt sa
gonze. Il dissimule son véhicule pour ignorer sa présence devant ce
temple de divertissement tant affectionné. Ses craintes sont minimes.
Parce que nombreux sont les hommes qui discutent avec des filles de
joie, au vu et au su de tout le monde. Les vendeurs d’accessoires de
téléphone mobile et de clé USB complètent le décor. En groupe de trois
(3) à quatre (4), les prostituées, apparemment MDL (Maitresses des
lieux), n'hésitent pas à approcher de potentiels clients. En jupette,
cigarette à la bouche, Sonia, exerçant le métier de la
prostitution depuis plus de 5 ans, selon elle a un client "Je suis
avec trois amies. Tu vas nous payer chacune 5000CFA en plus des frais
de l'hôtel. Mais saches que tu ne t'en sortiras pas facilement.»
S'adonnant aux marchandages, avec un sourire narquois, elle rajoute : «si tu
veux de moi seule, donnes-moi 5000 FCFA. Je te préviens que c'est une
somme dérisoire par rapport à ce que je vais faire pour toi.»
«Allons derrière, j'ai un pagne dans mon sac»
Un peu à l'écart par rapport à toutes ces prostituées qui déambulent
devant les bars, une jeune dame, débout devant un hôtel du coin, un petit
sac en main est sereine. Calme et coiffée de manière libertine,
elle n'attend que la minute où elle sera côtoyée. Quand on l'aborde, elle avance : «10 mille francs la passe plus 3000
CFA l'hôtel et le tour est fait.» Prix trop élevé pour son client, la
demoiselle a plus d'un tour dans sa besace. Elle revient à la charge et
propose : «si tu veux, tu me donnes 6000 FCFA, plus le prix du taxi et
l'on va chez moi à Abobo». L'accord n'est pas encore scellé. Dernier
recours, elle passe une offre plus accessible. Sans frais de taxi ni
prix de chambre d'hôtel, elle lance : «Allons donc juste derrière et tu
décaisses 10 000 FCFA. J'ai un pagne dans mon sac, on s'étale et le
boulot est fait». Encore une fois, ce n'est pas la bonne option.
Traversant la route et voulant une cigarette, cet homme qui ne se gêne
pas à raconter sa discussion avec la fille avoue : «Le sexe est cher
ici». A peine a-t-il terminé sa phrase qu'une fille lui propose une
partouze. Accompagnée d'une autre fille, une prostituée, portant une
petite robe, l'intercepte : «Que dirais-tu de nous avoir toutes les deux
à vil prix ?». Surpris de l’offre, il sourit, tire sa cigarette et
répond : «cela me ferait beaucoup plaisirs de flâner avec deux ou
trois filles à la fois». Avant de se retirer, une autre fille, âgée de
14 ans charge : «tu peux jouer avec les seins de l'une d’entre-nous
.C’est à 500 FCFA seulement.
Photo de www.koaci.com
Une escale à la rue des jardins, au Vallon à Cocody, les 2 Plateaux, aux
environs de 3 heures du matin. Ou travail Marie-Laure , une jeune fille, dont
l’âge oscille entre 16 et 17 ans, vêtue d'une petite robe blanche,
chaînes aux pieds, piercings, sur ses hauts talons sort du lot des
prostituées. Elle est enceinte. Ce qui ne l'empêche pas, selon elle, de
scruter la rue. Interpellée sur le prix à payer pour passer un moment
avec elle répond, d'un air banal : «juste 2 billets de mille FCFA
pour toi, en plus du taxi aller-retour à votre frais. Sinon, allons à
l'hôtel, tu donnes juste 5000 FCFA». Ici, le prix est standard. On
n’attend pas. Sauf augmentation volontaire de la part du client, il ne
varie pas. « C’est 5 mille FCFA, le prix normal pour une partie de
plaisir».
Juste devant la porte du Centre national de transfusion
sanguine, une femme, de forte corpulence, est assise. La trentaine
révolue, habillée d’une camisole de couleur jaune, assortie d'un pagne
aux rayures de la même couleur sur fond gris, cette prostituée, les
cheveux tirés vers le bas par un chouchou, s'affaire de façon bizarre.
Le sac noir presque entre les cuisses pour cacher son acte. Elle se
gratte le pubis pour attirer l`attention de potentiel clients sur sa présence afin de pouvoir partager son expérience des partouzes
Jeu sexuel
La partouze serait a l`origine, une pratique des jeunes filles et homme de Gonzagueville. Selon la rumeur, un groupe de jeunes garçons se retrouvaient dans la nuit avec leurs copines. On demandait à une fille de se coucher, puis chaque garçon passait à tour de rôle pour la posséder sous le regard de son copain qui lui aussi faisait la même chose aux autres filles. Ce jeu sexuel, selon lui, consiste à tester l’endurance de la fille et de voir aussi la performance des garçons. De nos jours, il est tres courant de voir des annonces de ce genres " Particulier organise une partouze avec des filles et des mecs a vous couper le souffle,ici tout est permis pour satisfaire vos fantasmes meme les plus fous ( fellation ,sodomie, fist ..........................................................)
Jeu sexuel
La partouze serait a l`origine, une pratique des jeunes filles et homme de Gonzagueville. Selon la rumeur, un groupe de jeunes garçons se retrouvaient dans la nuit avec leurs copines. On demandait à une fille de se coucher, puis chaque garçon passait à tour de rôle pour la posséder sous le regard de son copain qui lui aussi faisait la même chose aux autres filles. Ce jeu sexuel, selon lui, consiste à tester l’endurance de la fille et de voir aussi la performance des garçons. De nos jours, il est tres courant de voir des annonces de ce genres " Particulier organise une partouze avec des filles et des mecs a vous couper le souffle,ici tout est permis pour satisfaire vos fantasmes meme les plus fous ( fellation ,sodomie, fist ..........................................................)
pour plus de renseignement:0488..../0154....4/5757... disponible sur internet et souvent dans les clubs priveés a travers Abidjan.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire